Schneider Electric, le leader de la transformation numérique de la gestion de l’énergie et des automatismes, retrouve cette année le podium des Trophées du eCAC40 en atteignant la troisième place du classement avec une note générale de 16,06/20. Etabli par Les Echos Executives selon une méthodologie[1] imaginée par Gilles Babinet, digital champion de la France auprès de la Commission européenne, ce classement mesure la maturité numérique des groupes du CAC40. Cette troisième place salue l’ambition de Schneider Electric de placer le numérique au cœur de sa stratégie, et au service de ses clients.
Schneider Electric pionnier et toujours bien classé
Lauréat des premiers Trophées en 2014, Schneider Electric s’est toujours positionné dans le top 10. En 2018, le Groupe décroche la troisième place et obtient pour la première fois une note supérieure à 16/20, dans une « compétition » toujours plus poussée, la transformation numérique étant désormais une préoccupation stratégique pour tous les acteurs économiques. Pour Christel Heydemann, présidente de Schneider Electric France, qui s’est vue remettre le Trophée, « le numérique est partout, et au cœur de l’activité de Schneider Electric, c’est un moyen pour mieux consommer l’énergie ». Elle a aussi rappelé que pour un groupe multi-local comme Schneider Electric, le numérique était un moyen pour davantage de collaboration, de flexibilité et d’agilité. D’où la mise en place de Schneider Digital en 2017, organisation transversale qui garantit les fondements communs. Selon Hervé Coureil, Chief Digital Officer de Schneider Electric, « la transformation numérique est une réponse naturelle, en termes d’organisation, pour donner de la cohérence et de l’efficacité à un groupe qui s’est profondément transformé en quelques années ». Schneider Electric a en effet triplé de taille depuis le début des années 2000, pour moitié par croissance externe. Le numérique permet d’optimiser les processus et de mettre en place une stratégie entièrement centrée sur le client, de bout en bout.
Le digital dans l’ADN de Schneider Electric
En 2009, Schneider Electric a lancé EcoStruxure™, son architecture et plateforme de système ouverte, interopérable et compatible IoT (Internet des Objets). EcoStruxure™ apporte davantage de valeur en termes de sécurité, de fiabilité, d’efficacité, de durabilité et de connectivité. EcoStruxure™ s’appuie sur les avancées en matière d’IoT, de mobilité, de détection, de cloud, d’analyse et de cybersécurité pour offrir de l’innovation à tous les niveaux, des produits connectés aux applications, outils d’analyse et services, en passant par le contrôle périphérique. EcoStruxure™ est présente dans plus de 480 000 installations, avec le soutien de plus de 20 000 intégrateurs de systèmes, et connecte plus de 1,6 million d’actifs grâce à plus de 40 services numériques. Grâce à EcoStruxure™, 45% du chiffre d’affaires de Schneider Electric en 2017 est lié à l’IoT. A partir de 2011, Schneider Electric a progressivement adopté un outil de gestion de la relation dans le cloud pour l’ensemble du Groupe. Depuis lors, la stratégie de Schneider Electric de basculer d’un modèle de fabricant de produits à un modèle de fournisseur de produits, solutions et services permettant de résoudre les problèmes des clients, a porté ses fruits. L’indicateur « Digital Net Satisfaction Score » a gagné 27 points depuis sa mise en place.
Aller encore plus loin dans la transformation digitale
Les fondations digitales sont solides, mais il faut aller plus loin et accompagner tous les acteurs de l’écosystème, partenaires comme clients, dans leur propre transformation digitale. Pour cela, Schneider Electric s’est fixé une feuille de route très claire pour 2018 avec 6 grands axes. D’abord, intensifier la stratégie « Digital + Digitize », c’est-à-dire continuer à tirer parti des technologies digitales pour proposer des solutions toujours mieux adaptées aux besoins des clients d’un côté, et de l’autre, standardiser et améliorer les processus pour viser l’excellence opérationnelle. On peut citer également, la mise en place d’un comité digital au sein du conseil d’administration, Schneider Electric devenant ainsi un des premiers groupes à se doter d’une telle structure dédiée à la stratégie digitale et travaillant sur des sujets comme la cyber sécurité, l’expérience client digitale ou encore l’IoT. Autre axe important, la création d’un baromètre digital pour mesurer mensuellement la transformation digitale de Schneider Electric. La transformation digitale est une aventure au long cours.