Depuis 2019, sous l’impulsion du ministère du travail, toutes les entités légales de plus de 50 salariés en France sont tenues de calculer et de publier leur index de l’égalité professionnelle. Elles doivent obtenir un score minimal de 75/100, 100/100 étant le maximum. Chaque entité légale a 3 ans à compter de la date de la première publication de l’index pour passer d’une obligation de moyens à une obligation de résultats en matière d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes.
Un engagement fort pour une culture inclusive
Avec un index 2021 de 94/100 pour sa principale entité légale (SEI-SEF représentant 75% de ses collaborateurs en France), Schneider Electric consolide ses bons résultats des années précédentes avec un score qui avait déjà atteint 94/100. L’engagement de long terme de Schneider Electric en faveur d’une culture inclusive s’est toujours appuyé sur un fort soutien des partenaires sociaux et s’est attaché à valoriser la diversité sous toutes ses formes.
Dominique Laurent, Directeur Ressources Humaine Schneider Electric France déclare « L’Index de l’égalité professionnelle est un indicateur-clef de notre politique de gestion des ressources humaines car il rend compte de toutes les politiques que nous mettons en œuvre dans le domaine de l’égalité professionnelle dont l’’égalité salariale n’est au fond que l’une des résultantes ultimes. Nous sommes convaincus qu’il est essentiel d’adresser un large champ de pratiques visant à supprimer tous les biais et autres freins entravant une gestion dynamique des parcours de carrière des femmes et notamment leur accès aux plus hautes responsabilités. Cela doit en passer par un fort volontarisme et des ambitions clairement affichées. Pour cette raison nous avons inscrit au cœur de notre nouvelle politique de Développement Durable (Schneider Sustainability Impact) présentée début 2021 une ambition renforcée dans le domaine de la parité et ce, sur un plan mondial ». Il ajoute « Cet engagement au service d’une vision élargie de la parité, a du reste été récemment reconnu par Adrien Taquet, Secrétaire d’État à l’Enfance et aux Familles, qui a confié à Christel Heydemann Présidente de Schneider Electric France et Julien Damon, Professeur de sociologie, une mission visant à identifier les moyens d’une meilleure prise en compte par l’entreprise des enjeux de parentalité »
